Zur 1. Säule – Premierpilier
Art. 25 Abs. 1 ATSG; Art. 4 Abs. 2 ATSV
Auch im Falle einer Rentennachzahlung ist für die Frage, ob eine grosse Härte als Voraussetzung für den Erlass der Rückerstattungsforderung vorliegt, gemäss Art. 4 Abs. 2 ATSV der Zeitpunkt massgebend, in welchem diese Forderung rechtskräftig geworden ist (Erw. 5).
Art. 25 al. 1 LPGA; art. 4 al. 2 OPGA
Selon l’art. 4 al. 2 OPGA est déterminant, pour apprécier s’il y a une situation difficile (condition pour la remise de l’obligation de restituer) le moment où la décision de restitution devient exécutoire. Ceci vaut également en cas d’arriérés de rentes (consid. 5).
Urteil des Bundesgerichts vom 20. Januar 2007 (C 93/05)Art. 43 ff. ATSG
Kann ein Sachverhalt (in casu die rentenbegründende psychische Beeinträchtigung) infolge Todes der versicherten Person nicht mit überwiegender Wahrscheinlichkeit erstellt werden, so ist zuungunsten desjenigen zu entscheiden, der aus dem behaupteten Sachverhalt Rechte ableitet (objektive Beweislast; Erw. 4–6).
Frage weiterhin offengelassen, ob die Verwaltung die Folgen der Beweislosigkeit zu tragen hat, wenn eine von ihr zu verantwortende übermässige Verfahrensdauer dazu führt, dass der Sachverhalt nicht mehr erstellt werden kann (Erw. 7).
Art. 43 ss LPGA
Si un état de fait (dans le cas d’espèce, il s’agit d’une atteinte psychique donnant droit à la rente) ne peut plus être établi avec une vraisemblance prépondérante en raison du décès de l’assuré, alors la décision doit être prise au détriment de celui qui déduit des droits du prétendu état de fait (consid. 4 à 6).
Aus der ZeitschriftSZS 5/2007 | p. 470–470 Es folgt Seite № 470⬆La question reste ouverte de savoir si l’administration doit assumer les conséquences de l’absence de preuve lorsque celle-ci entraîne une procédure d’une durée excessive au point que l’état de fait ne peut plus être établi (consid. 7).
Urteil des Bundesgerichts vom 22. Januar 2007 (I 455/06)Art. 43 Abs. 1 ATSG
Zwar statuiert Art. 43 Abs. 1 ATSG die Sachverhaltsabklärung von Amtes wegen, wobei es im Ermessen des Versicherungsträgers liegt, darüber zu befinden, mit welchen Mitteln diese zu erfolgen hat (Erw. 4.1). Indes beinhalten die für die Beurteilung des Leistungsanspruchs von Amtes wegen durchzuführenden notwendigen Abklärungen nicht das Recht des Versicherungsträgers, eine «second opinion» zum bereits in einem Gutachten festgestellten Sachverhalt einzuholen, wenn ihm dieser nicht passt; der versicherten Person steht diese Möglichkeit ebenfalls nicht offen (Erw. 4.2).
Art. 43 al. 1 LPGA
Certes, l’art. 43 al. 1 LPGA dispose qu’il faut procéder d’office à l’éclaircissement de l’état de fait, étant entendu qu’il est du pouvoir d’appréciation de l’assureur de déterminer quels moyens employer pour ce faire (consid. 4.1). Cependant, les mesures d’instructions nécessaires à prendre d’office pour l’appréciation du droit aux prestations n’impliquent pas le droit de l’assureur de se procurer un deuxième avis («second opinion») portant sur les constatations d’une première expertise lorsque celles-ci ne lui conviennent pas. L’assuré n’a pas non plus cette possibilité (consid. 4.2).
Urteil des Bundesgerichts vom 29. Mai 2007 (U 571/06)Art. 52 Abs. 2 ATSG
Ein Einspracheentscheid, der neben reformatorischen auch kassatorische Elemente enthält, verstösst ebenso wie ein rein kassatorischer Entscheid gegen die Anforderung gemäss BGE 131 V 407, wonach einem Einspracheentscheid notwendigerweise reformatorischer Charakter zukommt (Erw. 3).
Art. 52 al. 2 LPGA
Une décision sur opposition contenant des éléments de nature cassatoire en plus d’éléments de réforme viole, tout comme une décision de pure cassation, les exigences posées par l’ATF 131 V 407, selon lequel une décision sur opposition ne peut avoir nécessairement qu’un caractère de réforme (consid. 3).
Urteil des Bundesgerichts vom 23. Januar 2007 (I 285/06) Aus der ZeitschriftSZS 5/2007 | p. 471–471 Es folgt Seite № 471⬆Art. 61 lit. f ATSG
Die Grenze für die Annahme der Bedürftigkeit im Sinne der Regeln über die unentgeltliche Rechtspflege liegt höher als diejenige des betreibungsrechtlichen Existenzminimums (Erw. 4.1.2.1, mit Hinweisen).
Zur Berücksichtigung von Schulden (Erw. 4.1.2.2–4.1.4) und von Kosten eines als Kompetenzgut anerkannten Fahrzeugs (Erw. 4.2.2).
Art. 61 let. f LPGA
Le seuil pour admettre l’indigence dans l’optique des règles sur l’assistance judiciaire gratuite est plus élevé que celui relatif au minimum vital dans le droit de la poursuite (consid. 4.1.2.1, avec renvois).
Prise en compte des dettes (consid. 4.1.2.2–4.1.4) et des coûts relatifs à un véhicule reconnu comme indispensable à l’exercice de l’activité lucrative (consid. 4.2.2)?
Urteil des Bundesgerichts vom 22. Januar 2007 (H 27/05)Art. 8 Abs. 2 AHVG
Bei unterjähriger Beitragspflicht aus selbstständiger Erwerbstätigkeit sind auf beitragspflichtigen Einkommen von weniger als 8400 Franken (für 2003–2006) nicht persönliche Beiträge in der Höhe des Mindestbeitrages geschuldet. Der Verordnungsgeber ist frei, für solche Fälle eine gesetzeskonforme und praktikable Regelung festzulegen (Erw. 3–5).
In casu kommt man gemäss den in Erw. 3.2.2 erwähnten, im EVG-Entscheid vom 27. Januar 2004 (H 34/03), Erw. 5.2 = SVR 2004 AHV Nr. 14 bereits diskutierten beiden Varianten jeweils auf einen Beitragssatz von 4,2 % des Einkommens, weshalb im Ergebnis das diesen Satz anwendende vorinstanzliche Urteil geschützt wird.
Art. 8 al. 2 LAVS
Une obligation de cotiser de moins d’une année en raison d’une activité lucrative indépendante n’est pas soumise aux cotisations personnelles à concurrence du montant minimum sur un revenu soumis à cotisation inférieur à 8400 francs (pour 2003–2006). Pour ces cas, le pouvoir réglementaire peut émettre par voie d’ordonnance une réglementation applicable et conforme à la loi (consid. 3–5).
Dans le cas d’espèce, selon les deux variantes déjà traitées (décision du TFA du 27 janvier 2004 [H 34/03], consid. 5.2 = SVR 2004 AVS n° 14), évoquées dans le consid. 3.2.2, on parvient à un taux de cotisation de 4,2% du revenu; il en résulte que le jugement de l’instance inférieure appliquant ce taux peut être confirmé.
Urteil des Bundesgerichts vom 6. Februar 2007 (H 161/05) Aus der ZeitschriftSZS 5/2007 | p. 472–472 Es folgt Seite № 472⬆Art. 9 AHVG
Beitragsstatus eines Versicherten, welcher als Autor ein Werk verfasst, um es im Rahmen eines Verlagsvertrages gegen Honorar dem Verlag zur Herausgabe zu überlassen. In casu Selbstständigkeit bejaht (Erw. 6).
Art. 9 LAVS
Statut en matière de cotisations d’un assuré qui compose une œuvre en tant qu’auteur, œuvre qu’il remet pour publication à un éditeur contre honoraires dans le cadre d’un contrat d’édition. Dans le cas d’espèce, le statut d’indépendant a été admis (consid. 6).
Urteil des Bundesgerichts vom 26. April 2007 (H 102/06)Art. 9 AHVG; Art. 18 AHVV
Werden Rückstellungen gebildet, um in einem Strafverfahren künftige Anwalts- und Verfahrenskosten abzudecken, und ist diese betrieblich bedingte Rückstellung bei ihrer Bildung einkommensmindernd berücksichtigt worden, so ist, sobald sie zufolge Wegfalls der geschäftsmässigen Begründetheit erfolgswirksam aufgelöst wird, der im Auflösungszeitpunkt bewirkte Ertrag in die Ermittlung des beitragspflichtigen Einkommens einzubeziehen (Erw. 4.2).
Die beitragsübergreifende Verrechenbarkeit gemäss BGE 133 V 105 bleibt auf Verluste beschränkt, welche im Jahr 2001 oder später eingetreten und verbucht wurden (Erw. 4.3).
Art. 9 LAVS; art. 18 RAVS
Lorsque des provisions sont constituées afin de couvrir de futurs frais d’avocats et de procédure dans le cadre d’une procédure pénale, cette provision en relation avec l’exploitation est prise en compte du fait qu’elle diminue les revenus lorsqu’elle est constituée. Il y a donc lieu d’intégrer au calcul du revenu soumis à cotisation le montant obtenu au moment de la dissolution de cette provision dès que sa justification en relation avec la marche des affaires a disparu (consid. 4.2).
La compensation en dehors des limites de la période reste limitée aux pertes qui sont survenues et qui ont été comptabilisées en 2001 ou plus tard (consid. 4.3).
Urteil des Bundesgerichts vom 11. April 2007 (H 64/06) Aus der ZeitschriftSZS 5/2007 | p. 473–473 Es folgt Seite № 473⬆Art. 26bis und 27 IVG
Sind öffentlich-rechtliche Organisationen oder mit dem Vollzug öffentlicher Aufgaben betraute Privatpersonen gesetzlich zum Abschluss von Verträgen verpflichtet (z.B. aufgrund von Art. 26bis und 27 IVG), muss ihnen ausnahmsweise das Recht zustehen, den Vertragsabschluss mit bestimmten Partnern zu verweigern, wenn dies durch höherrangige öffentliche Interessen gerechtfertigt ist (Erw. 3.3).
In casu bejaht, weil die Logopädin in drei anderen Fällen der IV-Stelle in erheblichem Umfang Logopädiestunden in Rechnung stellte, obschon die Familien dieser Kinder in der fraglichen Zeit im Ausland weilten, was zu einer Verurteilung der Logopädin aufgrund von Art. 70 IVG i.V.m. Art. 87 Abs. 1 AHVG führte (Erw. 4).
Art. 26bis et 27 LAI
Si les organisations de droit public ou les personnes privées chargées de l’accomplissement de tâches publiques sont dans l’obligation légale de conclure des contrats (par exemple en raison des art. 26bis et 27 LAI), il faut exceptionnellement leur accorder le droit de refuser de conclure un contrat avec certains partenaires lorsque cela est justifié par un intérêt public supérieur (consid. 3.3).
Ce droit de refus a été accordé dans le cas d’espèce, car la logopédiste a facturé à l’office AI dans trois autres cas et dans une large mesure des séances de logopédie bien que les familles des enfants concernés se trouvaient alors à l’étranger, ce qui a entraîné sa condamnation sur la base de l’art. 70 LAI en relation avec l’art. 87 al. 1 LAVS (consid. 4).
Urteil des EVG vom 1. Dezember 2006 (I 296/06)Lit. e der Schlussbestimmungen zur 4. IV-Revision; Art. 23 Abs. 1 und Art. 27 Abs. 2 ATSG
Der Anspruch auf eine gestützt auf lit. e der Schlussbestimmungen zur 4. IV-Revision auch nach dem 1. Januar 2004 weiter ausgerichtete Zusatzrente erlischt ein für alle Mal, wenn und sobald der Ehegatte selber eine IV-Rente bezieht (Erw. 3 – Hinweis: Mit dem Inkrafttreten der 5. IV-Revision entfällt der Anspruch auf alle Zusatzrenten).
Die Versicherten machen geltend, sie hätten in Kenntnis der Rechtslage auf den Bezug der befristeten IV-Rente verzichtet, weshalb die IV-Stelle die Beratungspflicht im Sinne von Art. 27 Abs. 2 ATSG verletzt habe. Dies wird vom Bundesgericht verneint, weil ein Verzicht im Sinne von Art. 23 Abs. 1 ATSG nur zulässig ist, wenn ihm keine schutzwürdigen Interessen Dritter entgegenstehen und damit keine Umgehung gesetzlicher Vorschriften bezweckt wird; Letzteres ist aber vorliegend der Fall (Erw. 4). Aus der ZeitschriftSZS 5/2007 | p. 474–474 Es folgt Seite № 474⬆
Let. e des dispositions finales de la 4e révision AI; art. 23 al. 1 et art. 27 al. 2 LPGA
Le droit à une rente complémentaire fondé sur la let. e des dispositions finales de la 4e révision AI, même accordée après le 1er janvier 2004, s’éteint définitivement lorsque et dès que l’époux reçoit lui-même une rente AI (consid. 3 – note: le droit à toutes les rentes complémentaires existantes s’éteint avec l’entrée en vigueur de la 5e révision AI).
Les assurés font valoir que, s’ils avaient eu connaissance du droit en vigueur, ils auraient renoncé à percevoir la rente AI limitée dans le temps, et que l’office AI avait en conséquence violé son obligation de renseigner au sens de l’art. 27 al. 2 LPGA. Le Tribunal fédéral n’a pas admis cette manière de voir car une renonciation au sens de l’art. 23 al. 1 LPGA ne peut être admise qu’en l’absence d’intérêts de tiers dignes de protection et pour autant qu’elle n’ait pas pour objectif de contourner des dispositions légales, comme tel est le cas en l’espèce (consid. 4).
Urteil des Bundesgerichts vom 20. April 2007 (I 714/06)Art. 3c Abs. 1 lit. g ELG
Eine Geldanlage stellt dann einen Vermögensverzicht dar, wenn sie einem Va- banque-Spiel gleichkommt (Erw. 3.2, mit Hinweis).
Hiervon ist im vorliegenden Fall auszugehen, in welchem ein Rentner angeblichen Bankern eine erhebliche Geldsumme ohne Sicherheiten überlassen hatte, um sich als Gegenleistung als angeblicher Erbe einen Nachlass zu sichern (Erw. 4–6).
Art. 3c al. 1 let. g LPC
Un placement de fonds constitue un dessaisissement de fortune lorsqu’il revêt le caractère d’un jeu du type «banque à tout va» (consid. 3.2, avec renvoi).
Il en va ainsi dans le cas présent où un retraité a confié une somme d’argent considérable sans sûreté à de prétendus banquiers pour obtenir en contreprestation un héritage en qualité de prétendu héritier (consid. 4–6).
Urteil des Bundesgerichts vom 26. Januar 2007 (P 55/05)Art. 3c Abs. 1 lit. g ELG
Frage, ob und in welchem Umfang einer Witwe als Verzichtsvermögen das Kapital angerechnet werden kann, welches sich ihr Ehemann von der Vorsorgeeinrichtung hatte auszahlen lassen und welches er in der Folge vollständig verbrauchte:
Zwar hatte die Versicherte rechtlich keine Möglichkeit, ihren Ehemann an einer Entäusserung des Vermögens zu hindern, zumal im Zeitpunkt der Kapitalauszahlung an ihren Ehemann im Jahr 2002 Art. 37 Abs. 5 BVG (in der Fassung gemäss 1. BVG-Revision) noch nicht in Kraft stand, wonach eine Auszahlung einer Kapitalabfin- Aus der ZeitschriftSZS 5/2007 | p. 475–475 Es folgt Seite № 475⬆dung an verheiratete Vorsorgenehmer nur mit Zustimmung des Ehegatten zulässig ist; dies trifft aber auch bei allen anderen Vermögensgütern von Ehegatten zu (mit Ausnahme der ehelichen Wohnung, Art. 169 ZGB) und ist kein Grund, um von der Anrechnung des verzichteten Vermögens abzusehen (Erw. 3.5).
Der Vermögensverzicht ist so zu behandeln, wie wenn er nicht stattgefunden hätte, mithin wie wenn das Vermögen noch vorhanden wäre, weshalb die infolge des Todes des Ehegatten vorzunehmende güter- und erbrechtliche Auseinandersetzung zu berücksichtigen ist (Erw. 4).
Art. 3c al. 1 let. g LPC
Question de savoir si et dans quelle mesure on peut considérer comme dessaisissement de fortune de la part d’une veuve dont le mari s’est fait verser les fonds par l’institution de prévoyance et a ensuite tout dépensé:
Certes, l’assurée n’avait du point de vue du droit pas la possibilité d’empêcher son mari d’aliéner sa fortune, d’autant plus qu’au moment du versement du capital à son mari en 2002 l’art. 37 al. 5 LPP (dans sa teneur de la 1re révision de la LPP), selon lequel le versement de la prestation en capital n’est possible que si le conjoint donne son consentement écrit, n’était pas encore en vigueur. Ceci vaut cependant aussi pour tous les autres éléments de fortune du conjoint (à l’exception du logement de la famille, art. 169 CC) et ne constitue pas un motif de renoncer à la prise en compte de la fortune dessaisie (consid. 3.5).
Le dessaisissement de fortune doit être traité comme s’il n’avait pas eu lieu, c’est-à-dire comme si cette partie de la fortune était encore présente. Dès lors la liquidation du régime matrimonial et successoral à la suite du décès de l’époux est à prendre en compte (consid. 4).
Urteil des Bundesgerichts vom 5. Februar 2007 (P 30/06)Art. 14 ELV
Art. 14 ELV ist nur bei «zu Hause wohnenden Personen» im Sinne von Art. 3b Abs. 1 ELG anwendbar, nicht dagegen bei Personen, die im Sinne von Art. 3b Abs. 2 ELG dauernd oder längere Zeit in einem Heim oder Spital leben («in Heimen wohnende Personen», Erw. 4).
Art. 14 OPC-AVS/AI
L’art. 14 OPC-AVS/AI s’applique seulement aux «personnes vivant à domicile» au sens de l’art. 3b al. 1 LPC, mais par contre pas aux personnes qui vivent durablement ou longtemps dans un home ou à l’hôpital au sens de l’art. 3b al. 2 LPC (consid. 4).
Urteil des Bundesgerichts vom 8. Februar 2007 (P 41/05)Publikation in der Amtlichen Sammlung erfolgt oder vorgesehen:
- Urteil vom 16. April 2007 (C 36/06): Beratungspflicht nach Art. 27 Abs. 2 ATSG (Präzisierung zu BGE 131 V 472).
- Urteil vom 8. Januar 2007 (K 18/06) = BGE 133 V 188: Beschwerdelegitimation gemäss Art. 59 ATSG.
- Urteil vom 28. Dezember 2006 (U 266/06) = BGE 133 V 196: Androhung von Säumnisfolgen im kantonalen Beschwerdeverfahren.
- Urteil vom 26. Januar 2007 (H 73/06) = BGE 133 V 201: Anwendung von Art. 3 Abs. 3 lit. a AHVG (Präzisierung zu BGE 130 V 49). – S. hierzu aber die AHV-Mitteilung Nr. 206 unter www.sozialversicherungen.admin.ch
- Urteil vom 2. Mai 2007 (H 151/05): Beitragsrechtliche Qualifikation von Forschungsbeiträgen und Stipendien des Nationalfonds.
- Urteil vom 25. Januar 2007 (H 121/06) = BGE 133 V 153: Anwendung von Art. 8 Abs. 1 lit. d AHVV.
- Urteil vom 10. Mai 2007 (I 863/05): Auslegung von Sozialversicherungsabkommen (Begriff «invalid geboren»).
- Urteil vom 21. März 2007 (I 136/06): Anzahl der von der Invalidenversicherung abzugebenden Rollstühle.
- Urteil vom 4. April 2007 (I 489/05): Anwendung von Art. 87 Abs. 3 und 4 IVV (Präzisierung zu BGE 125 V 412).
- Urteil vom 24. April 2007 (P 15/06): EL-Anspruch von Angehörigen von EU- und EFTA-Staaten; Bedeutung von Unterstützungserklärungen der Verwandten.
- Urteil vom 19. April 2007 (I 816/06): Anwendbarkeit der Verordnung (EWG) Nr. 1408/71 auf Familienangehörige von erwerbstätigen Bürgern von EU- und EFTA-Staaten.
Aus der ZeitschriftSZS 5/2007 | p. 469–476 Es folgt Seite № 476⬆